Poème pour le Népal et ses enfants de Caroline

Lettre ouverte à la Vie

De centre en centre, de solidarité en solidarité, de cœur en cœur, de paix sourires en paix couleurs vous êtes…

Sur un banc bambou, j’écris des variations vers des airs éloge à la Vie.
A ma façon, de bon ton, je vous regarde de tous mes sens pour gagner vos sens.
Je me rappelle vos histoires…

Vous êtes souvent de pures poésies.
Vous êtes résolument des peintures d’émotions.
Vous êtes souvent des félicités d’espérances.
Vous êtes résolument des provisions d’envolées.
A nul autre pareil, vous êtes des brins de fraîcheurs -souvent et résolument.

Chers Soleils-levants

A mesure des matins
A fleur de sens
Je suis en mesure de vous dire
Evidence et vie danse et vie danse
Que vos regards font respirer les pierres

A mesure des matins
En lettres d’eau
Je suis en mesure de vous dire
Evidence et vie danse et vie danse
Que vos éclats font miroiter les rizières

A mesure des matins
Sous des effets reflets
je suis en mesure de vous dire
Evidence et vie danse et vie danse
Que vous êtes des écrins d’émois mystères.

A mesure des matins
A fleur de sens en lettres d’eau sous des effets reflets
Je suis en mesure de vous dire
Evidence et vie danse et vie danse
Que j’aime vos yeux poèmes -j’aime.

Le souffle d’Espérance

Bouddha-Népal

Sous un banian bien pensant, il me vient à jardiner mille et des pensées.

Je fais un voyage, je suis en voyage
J’écris la couleur du temps de mon voyage
J’écris une inspiration cousue de mots fils d’or et de parfums d’ailleurs.

Aux portes d’une cité
Dans un berceau de jasmin
J’ai un peu de poussière dans les yeux.
Sous un parasol blanc royal
A l’abri d’un figuier de pagode
J’ai un peu de poussière dans les yeux.

Sous des vents clochettes, je me laisse des champs… je me prends à rêver.

J’écris à l’encre d’Or.
Un petit prince dans un jardin de printemps.
Un prince divin aux heureux présages.
La vie qui coule l’eau qui dort.
Des rizières sous le soleil, une ombre fraîche, un moment ravissant.
Un jeune précieux aux yeux couleurs de perle.
j’écris en lettres d’Or
Une envolée vers des consacrés horizons.
Un dessus haillon couleur safran.
Des espoirs naturels, une quête, des afflictions.
J’écris sous une pluie d’Or
Une forêt, des pas vigueur, une résolution illumination,
Le roi des arbres aux feuilles “cœur d’Or”.
Majestueux solitaire, mystérieux salutaire.Pippal Sacré, élu arbre de la Bodhi, arbre de BO.
Au pied de l’arbre du savoir, un sage sur un “trône de diamant”.
Des mains avancées entre terre et respirations – l’Orient devant.
J’écris à fleur d’eau
Un être aux lignes d’Or devenu Bouddha bienheureux.
Un éveillé à la naissance dernière.
Quatre Nobles évidences.
Une étoffe terre argile.
Des traversées sans compter et des guirlandes de prédications.
J’écris sur une goutte de rosée.
Bouddha”vieux maître” aux visibles fatigués.
Bouddha au creux de banians – ombrelles fleuries.
Bouddha qui s’en va-l’âme passion.
Une flamme qui s’éteint, un tout qui expire.
Une étoile qui file pour s’éteindre.
Dans le Nirvana-absolu Nirvana.
Il était une fois, Bouddha Sacré. Il sera toujours une fois, Bouddha” Parfait Eclat d’Or”.

2 commentaires :

  1. Merveille des mots que vous savez si bien manier pour nous toucher de vos emotions de rencontre, de poesie, de pure joie et de partage. Grâce à vos poèmes on s envole. Merci. Isabellr

  2. Jonathan Mongello Apua

    J’aime.
    Merci.

    Jonathan

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