– Le Népal et sa culture :
Les temples hindouistes et bouddhistes, leur histoire, la complexité des religions, des croyances, bravo et merci au guide Anoj expérimenté. La puissance des stupa à contourner dans un seul sens, les moulins à prière, la signification des objets, des rituels, leur effet sur moi, sur nous…
Les népalais, un peuple chaleureux et accueillant; gentillesse et douceur extrême. Des échanges par simple regard bienveillant, un Namasté ou un contact spontané. Tout ça, ça fait chaud au cœur.
La dimension spirituelle des lieux saints, l’ambiance de Kathmandou, les éclairages, le doux tourbillon des népalais autour de la stupa, les chants méditatifs, les incantations qui passent en boucle dans les hauts parleurs des boutiques aux abords de la stupa… « Aom mani pad mé hun »… le truc grandiose qu’on ressent dans la poitrine, dans le ventre, qui fait monter les larmes, sans savoir pourquoi… C’est un lieu difficile à quitter, je m’y sentais comme aimantée.
– Montagne à Nagarkot
Nature grandiose avec son calme, sa beauté, ses parfums, ses plantes, ses écoliers sur les ponts qui enjambent les torrents, les femmes qui portent, les femmes qui travaillent pieds nus dans la terre… Au Népal il se passe des choses fortes.
– Association parrainées par Ailleurs Solidaires
La dimension humaine, la générosité démesurée de Aama, son regard bienveillant et désemparé. Les moments de contact avec les femmes âgées, les caresses sur leurs cheveux, leur visage, leur dos, leurs mains serrées dans les miennes dans un namasté émouvant, les échanges de larmes parce qu’on n’a pas d’autre langage qui puisse exprimer un trop plein d’émotions: ici c’est quelques minutes ensemble, c’est tout: c’est maintenant, c’est l’instant présent vécu dans toute sa puissance…
Le centre à Bungamati, les petits handicapés: Avec les contacts improvisés, la spontanéité du cœur à cœur, les pliages de papier avec Suyathi, la fillette muette aux grandes tresses, les jeux de mains avec un petit garçon gourmand de contact, gourmand d’attention et de tendresse… Comme ils étaient forts ces instants vécus dans le présent; la tête est vidée du reste à cet instant… que du bonheur qui passe en urgence avec grandeur et noblesse.
– Les 2 jours au monastère
Le bienfait du silence et la grandeur de ce lieu saint qui prête à la rencontre avec soi. Les échanges avec les moines à l’entrée du monastère, le thé pris ensemble… un grand moment de détente et de bien-être. Les prières le matin et dans la journée, ressenties comme un bienfait qui imprègne la peau et la chair. Comme un transfert de douceur, d’amour, de bienveillance, pour moi, et à partager, à transmettre autour de moi.
– L’emprunte du Népal au quotidien
Pour moi c’est l’acquis d’une certaine sérénité, l’envie de me relier à ma spiritualité, et ne plus la vivre seule, la partager avec ceux et celles qui la ressentent comme moi, et dans l’amour.
Véronique